Le théâtre Kathakali est relativement connu en Occident. Le Pâvakathakali en est la "version miniature" présentée par des marionnettes à gaine absolument splendides. Reproduisant à la perfection l’esthétique des personnages du théâtre "humain", elles y ajoutent la magie d’une manipulation très vive et dynamique, se développant à la lumière d’une grande lampe à huile, qui contribue à l’aspect féerique du spectacle. Le répertoire du Pavakathakali est centré sur les deux grandes épopées du Râmâyana et du Mâhabhârata, ainsi que sur certaines légendes du Kerala.A voir à l'auditorium du musée Guimet le 29 novembre...
Une exposition qui intervient concurremment à la réouverture de la Maison de la Photographie, après un an et demi de travaux et qui intègre la programmation de lille3000. A travers une sélection d’œuvres de 28 artistes, Laura Serani, commissaire de l’exposition, nous propose un panorama original de l’Inde entre tradition et modernité. Une sélection de plus de 160 images, issues de différentes collections publiques ou privées, tente de donner un aperçu des multiples regards photographiques portés sur la culture indienne. De Federico Peliti dans la seconde moitié du XIXe siècle à Virginie Terrasse et sa série sur les Sikhs à Bobigny en passant par Tomasz Gudzowaty avec les lutteurs du Karnataka, elle confronte constructions classiques et écritures contemporaines...
Lire la suite : Indianscope - l'Inde intemporelle dans l'Inde d'aujourd'hui
Dans le cadre du 28ème Festival des 3 Continents les nantais auront la possibilité de profiter de l'exceptionnelle opportunité de voir l'intégrale des films du réalisateur indien Satyajit Ray dont lees films sont depuis longtemps quasi absents des écrans. De "Pather panchali" (Lacomplainte du sentier - 1958, première partie de la trilogie d'Apu) à "Agantuk" (Le visiteur - 1991), une magnifique occasion de découvrir ou redécouvrir les 37 films, fictions et documentaires, tournés par le maître bengali...
Quand les charmes de l’Inde batifolent avec les immensités irlandaises, la musique se fait mère des plus belles expériences. Les rythmes carnatiques du jeune Giridhar Udupa tiennent en haleine un public fasciné, qui se laisse caresser par le souffle long de la flûte bansuri de Fabrice De Graëf et les lignes de basse de Mishko M’Ba. Nasha, douce ivresse aux parfums exotiques d’un voyage initiatique qui laisse rêveur. En concert au Satellit Café le 29 novembre...